Histoire

Depuis les années 2000, de nombreuses études scientifiques confirment l'intuition des praticiens, des bienfaits de la pratique sportive sur le vécu et l'évolution des cancers.

 

Pendant les traitements 

  • Elle réduit la fatigue.
  • Diminue les effets secondaires des traitements.

Pendant les périodes de rémission

  • Elle diminue les risques de récidive.
  • Lutte contre la fatigue.
  • Permet un meilleur retour à la vie sociale, familiale et professionnelle.

Les bienfaits psychologiques de la pratique sportive :

  • Se réconcilier avec son corps.
  • Retrouver confiance.
  • Avoir une meilleure estime de soi.
  • Ressentir un mieux être.
  • Lutter contre l'isolement créé par la maladie.

 

De cette prise de conscience a germé l'idée d'une association organisant des randonnées pédestres adaptées aux personnes ayant ou ayant eu un cancer, encadrées par des personnes compétentes.

Les fondateurs se sont inspiré d'une association existante dans l'Isère (Zen Altitude 38),l'ont, avec leur accord , nommée"  Altitude 26-07", lequel nom semble bien refléter l'état d'esprit que nous souhaitons pour nos randonnées.

 

 

 

Quand Randonnée rime avec Immunité...

Bienveillance sans stress pour renforcer l’immunité

Les interventions psychosociales ont-elles un impact sur l’immunité des gens ? Cette question trotte dans la tête de bien des médecins attentifs à ce qu’ils ont sous les yeux. Certains acquiesceront d’expérience… et bien une méta-analyse de 56 études leur donne raison ! Le bénéfice de ce soutien (immunité meilleure et diminution des excès inflammatoires) est perceptible jusqu’à 6 mois après l’interruption des interventions. Que dire d’une attention constante aux personnes qu’instaure la convivialité d’un groupe de randonnée avec des animateurs bienveillants ? Qu’elle est bénéfique aussi longtemps que les pratiquants se retrouvent à marcher ensemble.

Il est certain que l’activité physique est un médicament et une composante efficace du traitement des maladies chroniques, prouvée scientifiquement dans la plupart des maladies très fréquentes (diabète, certains cancers, et bien sûr les maladies cardiovasculaires). Comme tout médicament, il a une dose assez bien définie à 150 minutes par semaine pour un adulte. C’est le seul médicament où la posologie chez l’enfant est plus importante : une heure par jour, contre 30 minutes chez l’adulte. Ces 150 minutes par semaine sont d’activité modérée, avec augmentation de la fréquence cardiaque sans essoufflement ou bien une activité plus brève, 75 minutes par semaine, plus intense avec début d’essoufflement.